• La sortie du 14 avril 2015

    La sortie du 14 avril 2015

    (La sortie s’est déroulée en deux parties : la rencontre avec une journaliste de la musique et le concert)

    Lorsque nous sommes arrivés, nous avons rencontré une journaliste de la musique (Stéphanie Berrebi) qui nous a parlé de son métier et nous avons pu lui poser des questions. Elle nous a parlé des inconvénients et des avantages de son métier et elle nous a aussi parlé de son parcours. Ensuite nous avons eu le concert dans une grande salle où il y avait beaucoup de monde et où il faisait chaud. Nous avons pu écouter différents types  de musique et des mixtes de plusieurs chansons.

    J’ai apprécié les chansons de Grand Corps Malade.

    Prisca

  • 25 ans de Zebrock

    Le 14 avril 2015 nous sommes allés avec toute la classe écouter un concert organisé par l’association Zebrock. Ce concert se situait au parc de la villette, au Cabaret Sauvage. La salle était immense,
    elle contenait ce jour-ci plus de 1000 personnes.

    Nous avons été accueillis par une journaliste qui fait aussi partie de l’association Zebrock. Elle nous a expliqué en quoi consistait le métier de journaliste et même le salaire que l’on pouvait gagner. Elle nous a dit qu’elle gagnait personnellement 1400 euros, mais que d’autres journalistes plus célèbres comme David Pujadas gagne très correctement leur vie.

    Les premières personnes qui sont passées sur scène n’étaient pas spécialement bonnes, et le tout premier artiste, Sanseverino, a insulté tout l’ensemble du public. Il y en a un que j’ai particulièrement apprécié, son nom d’artiste est Grand Corps Malade, son véritable nom est Fabien. Son interprétation était extrêmement belle et m’a beaucoup touché, et l’accompagnement musical était très en accord avec la chanson.

    Pablo

  • Un bon français

    La chanson un bon français est une chanson du groupe La maison Tellier. C’est un groupe qui a été fondé en 2004 par deux « frères » Helmut et Raoul Tellier.

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    Cette chanson, un bon français, est intéressante car elle peut être interprétée de plusieurs façons différentes. Au premier abord, on penserait que c’est une chanson raciste mais en poussant sa réflexion, on peut s’apercevoir que cette chanson dénonce cela.

    La musique de cette chanson est jouée par un orchestre (batterie, contre-basse, guitares et cloches). La chanson est chantée par un homme à la voix roque et traînante. C’est une chanson rythmée bien qu’elle ait un tempo lent pour signifier la tristesse. Les cloches que l’on peut entendre font référence à l’église, ce qui mène directement au titre.

    En effet, le titre fait référence au français d’origine française qui serait « un bon français » alors que le terme « étranger » conviendrait aux français d’origine étrangère.

    Dans les couplets et les refrains, il y a des rimes suivies.

    Au 4e vers, le pronom « on » est utilisé. Ce « on » fait référence aux dénonciateurs de juifs durant la Seconde Guerre Mondiale.

    Le refrain fait un lien avec Le chant des partisans. Il utilise le terme corbeau ce qui peut signifier l’ennemi, le malheur ou les lettres anonymes.

    Dans le 3e et 4e couplet, les compositeurs évoquent la violence des camps, de l’esclavage, de la torture et le souhait d’un état policier. Nous pouvons rapprocher directement tout cela à l’actualité de la politique française et la montée du FN.

    Dans le 5e et 6e couplet, il y a de la fureur avec le passage à l’acte du personnage de la chanson. En effet, il évoque une lettre écrite avec du sang.

    Ce texte est une critique car « un bon français » peut aussi bien être quelqu’un d’origine française que quelqu’un d’origine étrangère. Tout le monde peut être « un bon français ».

    Sarah

  • Reportage : le concert Zebrock au Cabaret Sauvage (14/04/2015)

    Le mardi 14 avril, on est allés au Cabaret Sauvage pour la journée Zebrock.Le matin on a pris le car et le voyage a duré une heure, c’était long. Après on a pique-niqué dans le parc de la Villette sur la pelouse et on a pris des photos.

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    Photo de groupe le long du canal, juste avant d’arriver au Cabaret Sauvage

  • Interview au Cabaret Sauvage d’une journaliste musicale, Stéphanie Berrebi

    Stéphanie Berrebi est une journaliste qui travaille pour le magazine «Francofan ».

    « Francofan » défend les artistes qui chantent en français et qui ne sont pas très connus des médias car ils sont trop engagés mais qui tournent ou ont tourné partout en France, comme Léo Ferré, Georges Brassens, Jacques Brel, Aznavour, Mano Solo, Les Têtes Raides, Noir Désir, Trio…

    Le magazine « Francofan » est en vente partout en France.

    – Comment vous est venu l’idée de devenir journaliste ?
    – « J’ai eu un parcours alternatif. J’ai eu mon bac mais suite à des événements familiaux j’ai lâché les études et mon rêve quand j’étais gamine c’était de faire de la radio. Sur un salon de l’étudiant à Porte de Versailles, j’ai vu une radio qui démarrait et qui cherchait des animateurs. Donc j’ai commencé comme ça, j’ai fait des chroniques sur cette radio, à faire les agendas des concerts à Paris »

    Enregistrement et retranscription, Mathilde THEBAULT & Justine LIN

  • Zebrock en concert

    Le 14 avril 2015, nous sommes allés voir un concert de plusieurs artistes dont Grand Corps Malade, Rainbow, etc. Nous avons rencontré une journaliste appelée Stéphanie Berrebi qui nous a décrit son métier et en quoi il consistait et les conditions. Ensuite, nous sommes allés assister au concert : le concert a été introduit par le fondateur de ZEBROCK, et une animatrice radio. Ça a commencé par du blues, un groupe de filles, un mix de plusieurs chansons, comme Michaël Jackson, Bruno Mars, etc. Il y avait un écran géant montrant des tweets en live sur twitter. Il y avait beaucoup de monde, on était très collés serrés mais on avait de la clim’. Le public était majoritairement composé d’adolescents, collégiens/lycéens. On a pu découvrir de nouvelles chansons assez intéressantes comme celles de Grand Corps Malade, qui a été assez proche du  public. Nous avons beaucoup apprécié ce moment : on s’est bien amusé.

    Virginie Nguyen & Cordelia Deeks

  • Les textes de Grand Corps Malade

    Dans sa chanson interprétée le mardi 14 avril 2015, au Cabaret Sauvage, « J’ai mis des mots », l’artiste Grand Corps Malade parle de ses débuts dans l’écriture, des mots qui l’ont touchés ou inspirés. « J´ai mis des mots sur un cahier … j’ai mis des mots comme une empreinte … j’ai mis des mots de Saint-Denis ». Le refrain nous explique que l’accompagnement instrumental est très important pour donner vie à la musique : « Et quand la musique accompagne. Les mots pétillent comme du champagne. Et le meilleur ne le nie pas. C’est sur un air d´harmonica ». Son album Funambule est disponible et contient 4 titres inédits.

    Clara Sportes